jeudi 26 mai 2016

TROYES Bonneterie SIB, échantillon de bas nylon


Bas EXCITING - Société Industrielle de Bonneterie - Troyes

Les bas Exciting étaient fabriqués à Troyes par la SIB
 

Pochette d'allumettes
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Bas EXCITING - Société Industrielle de Bonneterie - Troyes

S. I. B. Bas & Lingerie, 3, boulevard du 1er RAM Troyes
Support présentoir de 1940

 


 
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Bas Chesterfield - SIB - Société Industrielle de Bonneterie - Troyes


1967
 
CHESTERFIELD une marque de la SIB - Société Industrielle de Bonneterie Troyes


 Texte du carton accompagnant la paire de bas :
Voici donc une paire de bas en édition de luxe.

"Elle est, comme tout autre, l’œuvre d'une machine" m'objectera-t-on.

Et après ? ... et le livre précieux ?...Son papier et ses caractères furent soigneusement choisis, ses alinéas et ses marges équilibrés avec soin; c'est finalement, une machine qui l'imprime. Il a beau porter un numéro, et parfois le nom du souscripteur, il reste impersonnel.

Cette impersonnalité qui limite l’œuvre de l'imprimeur-artiste, fait au contraire, la dignité du bas. Pour lui, être impersonnel consiste à s'effacer devant la personnalité de la jambe.

Son rôle ?... la mettre en valeur, la nuancer, en uniformiser l'épiderme, en soulignant le galbe. Fonction toute d'humilité. Les vertus que possède le bas, c'est à la jambe seule qu'elles doivent être attribuées.

Un bas m'apparaît que par une irrégularité de texture, un défaut même à peine perceptible, une couleur qui plutôt que de farder, trahit son artifice. La paire que voici, mérite sa qualification de "tirage de luxe", car elle a été mirée, triée, choisie, pour son efficace invisibilité.

Efficace dans la mesure où elle est un piège, comme la belle typographie qui incite à lire le livre.

Lucien Rançon

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jeudi 19 mai 2016

Troyes Auberge du Cheval Gentil, années 30/40

Auberge du CHEVAL BLANC
A gauche la Grande Poste à l'angle de la rue Raymond Poincaré en direction de la rue Louis Ulbach.
A l'emplacement du restaurant Le Bistroquet, anciennement Cinéma Le Français.

On peut ajouter que la Milice de Pétain a investi les lieux pendant la guerre. 
D'après André Beury in La politique dans l'Aube sous l'Occupation: 1940-1944